Fred organise un stage initiation plongée souterraine au bord du Lac de Chalain.

Bonne occasion de faire trempette avec les copains dans la belle résurgence du gour bleu de Fontenu, et de faire profiter des joies du camping et de la plage à Elouan et Sarah.

Deux stagiaires , Christophe et Charles ont pu appréhender les bases techniques de progression en siphon. Nos amis suisses Maxime et Margrit étaient présents pour les prises de vue....

Manu.

Arnaud, Olivier, Dominique, Gérard.
Arrivée à 20H15 au parking, nous prévenons les campeurs voisins dont le gros chien nous accueille aimablement.
Le disto-X est remplacé par une boussole classique, azimut et pente.
Le laminoir d'entrée, toujours aussi bas nous laisse entrevoir un retour en rampant.
Mais le pire, c'est la boue omniprésente dans ce boyau.
A 15 mètres de l'entrée, le pan incliné rappelle les toboggans que nous grimpions à l'envers dans notre enfance, mais en plus glissant.
Moustiques, une chauve-souris, les traces du blaireau et son crane, il n'y a plus de signe de vie après la voute mouillante.
D'ailleurs, la voute mouillante n'est plus qu'une flaque de 5 mètres de long.
Arnaud vise avec la boussole, Olivier avance avec les bambous de marquage, Dom à la photo et Gérard au crayon.
Ce n'est pas facile de maintenir le carnet propre dans cette ambiance terre et sable, mais surtout terre.
L'oxygène se raréfie dans les 20 derniers mètres. Au retour, nous retrouvons le courant d'air alimenté par les failles.
Le laminoir d'entrée conserve sa réputation, on ne tourne pas la tête !
Il fait chaud dehors et l'eau du Doubs paraît bouillante dans les néoprènes. Mirza ne nous entend pas et nous sirotons notre bière après rinçage et séchage.
Une table de camping sur la route surprend les deux automobilistes qui se sont égarés à cette heure tardive sur la petite route.
On aurait bien fait un tour chez Dom, mais il se fait tôt et les éclairs illuminent le ciel au nord et à l'est.

Temps passé sous terre : 3H30.

Hola,

Arnaud, JPV…

Quand on croit avoir fait le plus dur, sortir de Besançon avec la Chalèze-Malate et la côte de Larnod fermées, c'est qu'on ne sait pas qu'ils refont le pont à Quingey.

Sur la route vers 11h, je sais ce que j'ai oublié, les gants latex pour pouvoir changer de main régulièrement, c'est que le chantier est un peu boueux…

11h15, en fait c'est la sous-combinaison qui est restée dans l'armoire. Vu les difficultés à se déplacer Arnaud décide d'y aller en short-teeshirt et me passe sa combine ultra stretch résille (coude, genoux et…). Super sympa.

11h30 On peut y aller. 12h45 on balaie au marteau burin le fond. Arnaud est passé maître pour retailler les méandres, on se croise dans l'ex étroiture… La prochaine fois nous ne prendrons que la mèche de 40 et une de dix pour l'amorçage des trous. Nous réussissons tout de même à en percer 6 dans le courant d'air frais. Bizarre, celui qui ne perce pas, tremble… Assez pour cette séance, nous préférons éviter la douche annoncée par météo France. La cavité est patinée d'argile, ça glisse, ça fuse, et je teste la main courante installée par Mouloud. La couche d'argile sur le corps, permet de garder un peu de chaleur. 16h on retrouve les moustiques et la chaleur, à priori l'orage n'est pas pour ce soir…

TPST: 4h30. Plus on va loin, moins on met de temps…

En principe nous y retournons mardi 28. Arnaud pense que si l'on y va en maillot de bain on devrait mettre une demi-heure en moins. Pour les amateurs de record, il restera le sting…

A+JPV

Olivier, Adam, 2 Alsaciens et moi.

Rendez-vous 10h15 sur place, Adam et ses 2 collègues arrivent vers 11h.

Ils avaient un léger petit retard.

11h30 dans le trou, visite jusqu'à la grande cheminée pour Olivier et les 2 Alsaciens.

Vers 13h, Adam et moi allons au fond pour remplir les trous percés lors de la dernière séance.

14h demi-tour, nous retrouvons Olivier à la grande concrétion et les 2 Alsaciens au milieu du canyon.

Sortie du trou vers 16h30. TPST: 5h

Grotte de St Vit, Commune de St Vit

Temps passé sous terre : 1h

Arnaud, Heidi, Inès, Louise

La visite rapide, la grotte ne comporte pas de difficultés techniques. Nous y observons toutefois de belles concrétions. Heidi et Inès, les filles d’Arnaud se sont bien débrouillées.